18 juillet
Les moineaux ivres et les grues muettes
la neige amoncelée que l’enfant mange par poignées
ou jette
La saveur des patates douces
Le parfum des fleurs et feuilles dans le soir
La pluie, la boue, le bijou sur la peau parfumée
Les vieux livres et la fraîcheur du thé
Les saisons mûres comme fruits lourds
La soie, les rives, les rires du cabaret
Les pas léger du vent d’été
et même les ronces et orties
qui te retiennent …
Tous, mon Amie
t’aiment tant
qu’ils me parlent de toi
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